Le tronçonnage des voies longues a bien sûr des avantages pratiques. Mais il permet aussi d’honorer plus de monde.
On coupe une voie en deux, l’un des morceaux garde le nom de la voie et le second en prend un autre. Cette opération, qui n’efface pas le premier nom, permet d’honorer rapidement une personnalité, même si l’on n’a pas de voie nouvelle à lui offrir.
Notre base de données répertorie une soixantaine de tronçonnages.
Le 7 octobre 2013, nous évoquions la rue Georges Braque, le 14 juillet 2014, Jean Bouvier et Plessis-de-Roye.
Pour les rues « Salvador Allende » et « Pablo Neruda », voir : Chili.